Revue de presse de janvier 2018

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Revue de presse hypnose et méditation de janvier 2018

  • Le centre hospitalier de Bligny lutte contre la douleur grâce à l’hypnose (le Parisien)
    Pour aider les patients à mieux vivre un acte médical, le personnel de l’hôpital situé à Fontenay-lès-Briis est en train d’être formé à l’hypnoanalgésie. Une méthode qui fait déjà ses preuves.
  • Tabac : et pourquoi pas l’hypnose ? (l’Est Républicain)
    Depuis le « Mois sans tabac », en novembre, l’hôpital Saint-Charles épaule ses agents souhaitant arrêter de fumer. Et leur proposait hier, comme au grand public, une réunion d’information évoquant notamment le sevrage par l’hypnose.
  • Journée du cancer ce 4 février : zoom sur les techniques non-médicales (Age Village)
    La journée nationale contre le cancer le 4 février est l’occasion d’un zoom sur les techniques non médicales présentées par l’institut national du cancer. Soutien psychologique, relaxation, sophrologie, hypnose, neurostimulation, kinésithérapie, massages, etc. ces techniques sont complémentaires des traitements et viennent soulager les douleurs, améliorer la qualité de vie des personnes malades et de leurs proches aidants.
  • Bruxisme : un traitement par hypnose (Medisite)
    Vous souhaitez vous débarrasser de votre bruxisme ? Contre ces grincements de dents involontaires, pensez à l’hypnose : elle peut donner de bons résultats dans de nombreux cas.
  • Quand l’hypnose fait évoluer l’hôpital (Homeview Sénégal)
    Sans anesthésie générale et sous une lumière tamisée, les opérations sous hypnose se font depuis peu à la clinique du Tonkin à Villeurbanne (Rhône). Opéré d’une arthroscopie d’un genou, un patient de 36 ans a voulu tester.
  • L’hypnose et la fibromyalgie : le rôle clé de l’infirmière (Infirmiers.com)
    Dans le cas du suivi et du traitement de la fibromyalgie, l’hypnose, bien que le niveau de preuve soit encore faible, permet au sujet de rétablir un schéma corporel souvent défaillant et ainsi d’initier une remise en mouvement profonde qui peut être entretenue grâce à l’autohypnose. Les infirmières ont un rôle clé à jouer dans ce processus, car leur proximité avec les patients leur permet une alliance thérapeutique essentielle en hypnose.
  • “Cela permet de déstresser le patient et de diminuer les anesthésiants” : l’hypnose arrive en bloc à l’hôpital (France Info)
    “L’hypnose permet au patient de vivre son expérience hospitalière avec une émotion positive. On va lui amener des émotions sympathiques, comme du voyage, et tout cela va permettre de déstresser le patient et de diminuer les médicaments anesthésiant pour en mettre beaucoup moins, voire parfois pas”, explique le Dr Bourdin, anesthésiste à la clinique lyonnaise du Tonkin.
  • L’hypnose proposée aux patients des HUG (Hôpitaux Universitaires de Genève) (Le Matin)
    Les Hôpitaux universitaires de Genève ont lancé pour son personnel un programme de formation à l’hypnose clinique.
  • L’hypnose fait son entrée à l’hôpital par la grande porte (Le Temps)
    Les Hôpitaux universitaires de Genève ont lancé un programme novateur de formation à l’hypnose clinique afin d’aider les soignants à atténuer l’anxiété ou les douleurs chez leurs patients. Les premiers participants recevront leur certification à la fin de janvier.
  • Une chercheuse lyonnaise veut étudier l’activité du cerveau pendant l’hypnose et la méditation (Lyon Mag)
    Lors d’une conférence organisée par la radio France Culture sur les pouvoirs de l’esprit, la première question posée par le public porta sur la différence entre la méditation et l’hypnose. Bruno Falissard, psychiatre parisien, répondit que de point de vue scientifique on ne savait pas répondre à cette question. En duplex depuis la salle de conférence de la Bibliothèque de la Part-Dieu, Prisca Bauer ne prit pas la parole pour répondre de son côté. Et pourtant elle devait avoir des idées.
  • Addictions, troubles, douleurs : l’hypnose médicale, un remède ? (Femmes du Maroc)
    L’hypnose médicale est un outil à part entière qui est de plus en plus utilisé en Europe dans le traitement de la douleur et des troubles psychosomatiques.
  • L’hypnose est-elle efficace ? (Libération)
    De nombreux résultats scientifiques montrent non seulement que l’hypnose fonctionne réellement, mais aussi quels sont les mécanismes neuronaux se cachant derrière son fonctionnement.
  • Hypnose aux urgences : “moins de chimie, un gain de temps” (Infirmiers.com)
    Les urgences paraissent être un environnement hostile à première vue, un lieu rempli de colère, de douleur et d’angoisse. Les tensions y sont permanentes et les principales agressions et plaintes sont liées à un problème essentiel de communication, voire à l’absence de communication. L’utilisation de l’hypnose aux urgences nous apprend à réhumaniser les soins, améliorer la relation médecin/patient et surtout apporte un bien-être dans un domaine très négligé, le confort du soignant.
  • Pas de fatalité à la douleur des enfants (Tout Lyon)
    Depuis sa création en 2004, la fondation Apicil a soutenu 622 projets, dont 40 % en Auvergne-Rhône-Alpes, parmi les 1000 qui ont fait l’objet d’une étude par le conseil scientifique et administratif. Au-delà d’une aide financière globale qui s’élève à 8 M €, elle apporte une caution scientifique aux chercheurs et professionnels de santé et elle favorise la réflexion sur la connaissance et le traitement de la douleur physique et psychique par des techniques non médicamenteuses. Elle est sollicitée par les soignants qui plébiscitent des approches complémentaires, notamment l’hypnose, la sophrologie ou l’art thérapie, qui permettent d’atténuer la douleur que l’imagerie cérébrale permet désormais de situer.

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